Source : Mediamus
"Ça pourrait même être un apologue : il y avait un pauvre type qui s’était trompé de monde. Il existait, comme les autres gens, dans le monde des jardins publics, des bistrots, des villes commerçantes et il voulait se persuader qu’il vivait ailleurs, derrière la toile des tableaux, avec les doges du Tintoret, avec les graves Florentins de Gozzoli et Julien Sorel, derrière les disques de photo, avec les longues plaintes sèches du jazz [..]
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