Source : Mediamus
« Le concerto pour piano est un fauve pour qui l’on a un respect incroyable. Et, pour cette raison, on l’étudie, et le fauve se révèle être le professeur. Un professeur qui met l’interprète au défi de développer ses propres idées, qui l’oblige, face à la forme écrasante qu’il faut maîtriser, à réfléchir à ses propres contradictions et à leur donner une forme originale, à transcender ses propres limites et à se débarrasser de ses idées préconçues [..]
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