Source : Everitouthèque - Médiathèque Romans sur Isère
Je suis un inconditionnel de Camilleri. Et encore cette fois-ci, je me suis régalé. Au propre comme au figuré car, dans ses romans, la bouffe fait concurrence à l'intrigue policière. À preuve ? Dès la première page : « Le léger parfum d'encens qui stagnait dans l'air après la messe et l'odeur de la cire des chandelles étaient pour les Palmisano plus attirants que le fumet de sauce tomate pour qui n'a pas mangé depuis dix jours [..]
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