Source : Everitouthèque - Médiathèque Romans sur Isère
Il ferma les yeux, porta le sho à sa bouche comme on donne un baiser ou comme on le reçoit. Il se mit à souffler, imitant le vieillard que tant de fois il avait observé. Un son fragile se fit entendre. Dehors, la brise se leva et fit pencher les herbes. Il souffla à nouveau, le vent souffla plus fort, mêlant son sifflement à celui du sho [..]
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