Source : Mediamus
Frères humains qui après nous vivez, N'ayez les coeurs contre nous endurcis,Car, se pitié de nous pauvres avez,Dieu en aura plus tôt de vous mercis.Vous nous voyez ci attachés cinq, six :Quand de la chair que trop avons nourrie,Elle est piéça devorée et pourrie,Et nous, les os, devenons cendre et poudre [..]
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